Le Timbre-PosteAnnée 1867

Chronique.

...

FRANCE ET SUISSE. 
Émissions ajournées. 

...

Page 4 - Dentelés et non dentelés, par le Dr MAGNUS.
(Suite. — Voir n° 48.)

Page 6 - Rubrique par-çi, par-là.

Page 7 - LE SERVICE OES POSTES AU CAP DE BONNE-ESPÉRANCE.
(Suite, voir n° 32.)

Page 8 - UNE GRAVE AFFAIRE. (P. Mahé du Timbrophile, petits réglements de compte...)

Chronique.

Page 12 - DE LA PIQURE DES TIMBRES EN BELGIQUE.

Page 14 - LE SAVON DE MARSEILLE, par E. REGNARD.

Le Collectionneur de timbres-poste imprimait à la date du 15 août 1865 un article fort curieux sur 
l'art d'enlever les différentes oblitérations des marques d'affranchissement...

Page 15 - Dentelés et non dentelés, par le Dr MAGNUS. 
(Suite. — Voir n° 49.)

Chronique.

Page 21 - DES POSTES ET DES TIMBRES-POSTE AU BRÉSIL.

I

Page 23 - A CHACUN SON BIEN. (réglements de compte avec le Timbrophile et le Collectionneur de Timbres-Poste.)

Chronique.

...

FRANCE.

Cette fois-ci ça y est. Le 30 centimes est paru et dit-on le 20 centimes aussi. Le premier est marron,
le deuxième bleu, selon le spécimen. Tout le monde y reconnaîtra S. M. l'empereur des
Français couronné de lauriers. C'est du reste l'effigie du 2 et 1 centimes avec un encadrement nouveau ou pour mieux dire
nouvellement gravé; l'encadrement n'étant qu'une copie avec variantes du type en vigueur. Un petit défaut dans l'ajustage
des pièces a produit une petite ligne blanche devant le deuxième chiffre 30. La nuance nous paraît assez
heureuse; le type est aussi bien gravé qu'imprimé.
C'est Paris qui a eu le 4 courant l'insigne faveur d'utiliser le nouveau timbre. Quelle chance !

Page 26 - Dentelés et non dentelés, par le Dr MAGNUS.
(Suite et fin. — Voir N°50)

Page 30 - MORESNET libre, par J. S. NÉOM.

Page 31 - DES POSTES ET DES TIMBRES-POSTE AU BRESIL.
(Suite et fin. - Voir n° 51)

Chronique.

Page 36 - TIMBRE DU SÉNAT ESPAGNOL.

Page 36 - LA POSTE LOCALE DE CONSTANTINOPLE.

Page 37 - Bibliothèque des timbrophiles.

M. Mahé vient d'être heureusement inspiré en commençant une publication nouvelle, en brochures,
des articles les plus intéressants sur la timbrophilie, qui ont parus ou qui paraîtraient dans les divers
journaux.

Le premier ouvrage qu'il vient de mettre en vente, est extrait du Timbrophile, avril-juillet 1865, et a
pour titre : Essais sur les filigranes et les papiers employés à la fabrication des timbres-poste; il est
dû aux observations du docteur Magnus qui vient de les compléter jusqu'à ce jour:

Ce travail de patience qui est établi sur des faits et non sur des données incertaines est, à
notre avis, le meilleur mémoire qui ait été écrit jusqu'ici : il est à la fois instructif et utile, et précieux
surtout pour être consulté Bref, c'est un ouvrage qui se recommande seul, par sa signature.

Que M. Magnus veuille bien nous permettre, cependant, quelques remarques que nous venons de
faire en parcourant rapidement son livre. Elles sont de minime importance, sans doute, en présence des
difficultés et des recherches qu'il a dû rencontrer.

...

Enfin, n'est-il pas regrettable de trouver dans un travail aussi sérieux, le filagramme des timbres Moresnet ?

Pour ce qui concerne la Belgique, M. Magnus ignore, dit-il, jusqu'à quelle époque on s'est servi
de timbres filagrammés. Nous sommes heureux de pouvoir le lui apprendre : On a cessé d'employer ce
papier, en suite d'un ordre de service du 11 février 1861, prescrivant qu'à partir du 1 er mars même
année, les planches de timbres -poste contiendraient 300 timbres au lieu de 200, qu'elles avaient toujours eues.

Nous ne finirons pas sans adresser un reproche à l'éditeur, pour ne pas avoir fait suivre sa publication
d'une table des matières. L'ordre géographique adopté par M. Magnus n'est pas aisé pour tout le
monde; il nécessite des recherches souvent très longues, qu'un caractère presque uniforme vient encore
compliquer, C'est là une lacune dont se plaindront certainement les jeunes timbrophiles.

Page 37 - LES PIGEONS MESSAGERS EN ORIENT.

Page 38 - HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE (le poisson d'avril de Moens à Mahé).

Et puis ne faut-il pas rire un brin?
***

PIERRE MAHÉ, MARCHAND DE POISSONS.

Il y a six semaines environ, le Timbrophile, en naviguant dans les eaux du Timbre-Poste, apprit le
départ de son meilleur ami pour la république de Moresnet. Qu'allait-il y faire?.... Chercher des
nouvelles, lui dit-on, qui intéressaient, au plus haut point, la timbrophilie tout entière. Et je l'ignorais!
hurla l'argus parisien en apprenant la nouvelle. — Son parti fut bientôt pris. Il mit le cap sur
Moresnet : ne s'agissail-il pas de compléter les renseignements du Timbre-Poste ! Devant ce devoir,
l'habitant de la capitale de Thérésa n'a j'amais failli.

En arrivant, il ne reconnut pas d'abord son ami porteur d'un faux nez, mais les besicles une fois
rajustées lui vinrent en aide : Méfions-nous du faux nez, se dit-il. Il attendit.

Le confrère belge qui n'est pas bête, quelquefois, attira bientôt l'attention du Timbrophile (M. De
Craque peut l'affirmer) sur un énorme poisson d'une espèce encore inconnue et fit semblant de vouloir
s'en saisir; mais prompt comme la foudre, l'habitant de la maison historique des trois Canettes, eut
bientôt amené dans ses filets le curieux poisson qui n'était rien moins qu'un canard. Cette pèche miraculeuse
s'est faite le 1 er avril.

M. S. Néom* essaya bien de rire dans sa barbe, mais ne le put; pour la meilleure de toutes les raisons
c'est qu'il n'en a pas. Il se contenta donc de sourire et lorsqu'il se rappelle la circonstance
cela lui arrive encore.
(MOENS M. à l'envers)

L'heureux propriétaire, M. Mahé (grand M majuscule) a réussi, nous ne savons trop comment (les
trois canettes de la maison historique doivent y être pour quelque chose) a réussi, disons-nous, à perpétuer
l'espèce et en a obtenu de diverses couleurs, qu'il annonce, heureux confrère, aux prix suivants.
...

P. S. Il s'adresse à notre ami et un peu beaucoup à notre autre confrère Maury. Qu'ils veuillent bien
méditer ensemble ce proverbe : il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant qu'on ne l'ait pris.

...

Notre spirituel Parisien insinue traitreusement que nous revendiquons, entre autres, l'idée d'avoir
le premier publié un journal timbres poste. Cela est tout simplement faux. Tout l'honneur en revient à
feu « The Stamps collections review » de Liverpool, paru le 15 décembre 1862 et non au Stamps col-
lectons magazine, qui n'a vu le jour que le 1er février 1863, soit 15 jours avant nous, au lieu de un
mois, comme le dit la feuille si bien informée.

Pub pour l'ALBUM DE TIMBRES-POSTE 

6 e ÉDITION. 

Revue avec soin, et augmentée d'armoiries nouvelles.

Chronique.

Page 44 - RÉFORMES POSTALES EN ESPAGNE, par J. Seoane-Ferrer.

Page 44 - Les Bergedorf réimprimés.

Page 45 - Projet de réformes postales en Belgique.

Page 46 - La main sur les timbres turcs de première émission.

Page 47 - LE SERVICE DES POSTES AU CAP DE BONNE-ESPÉRANCE.
(Suite et fin. - Voir n° 49.)

Chronique.

Page 53 - A propos des anciens Bergedorf.

Page 54 - Le 2 pence filagrammé de Queensland.

Page 55 - LES TIMBRES-POSTE.

Catalogue méthodique et descriptif de tous les timbres-poste connus, par M. O. Berger Levrault.

Combien de fois n'avons-nous pas entendu dire . « Ah! s'il me fallait faire un catalogue de timbres-
poste, je réponds bien qu'il ne contiendrait aucune erreur et que rien n'y serait oublié. » Mais les
prétextes ne manquent point aux beaux parleurs lorsqu'il s'agit de mettre la main à la pâte, ou même
de prêter leur concours.

Bien des personnes s'imaginent qu'il suffit de rassembler les divers journaux ou catalogues de
timbres, pour en dresser une nomenclature de ceux qui existent. C'est précisément le moyen d'arriver
à cataloguer toutes les erreurs qui ont pu être commises.

Lorsqu'on veut présenter au public un travail consciencieux, comme l'est celui de M. O. Berger,
il faut pouvoir contrôler tout ce qui a été dit, tout ce qui a été écrit. Mais alors que de déboires, que
d'ennuis, que de difficultés ne rencoutre-t-on pas sur son chemin! C'est à faire reculer les plus intrépides.
Applaudissons donc l'auteur qui a eu assez de persévérance pour mener à bonne fin une œeuvre
aussi nécessaire, sans se laisser décourager par les ennuis d'un long travail et vaincre toutes les difficultés
qui ont dû surgir sans cesse sur ses pas.

En ouvrant ce livre, nous trouvons d'abord quelques bons conseils sur l'organisation d'une collection
de timbres-poste, ce dont nous ferons profiter prochainement nos lecteurs ; puis vient la nomenclature
de tous les timbres et des réimpressions ; les différents papiers, filagrammes et piqûres qui ont été
usités ; le mode d'exécution des timbres pour faciliter le moyen de reconnaître les contrefaçons, et enfin
une table des monnaies. L'auteur n'a pas épargné non plus les notes, aussi nombreuses qu'intéressantes.

Nous allons dresser maintenant le bilan de quelques rares omissions que nous avons remarquées et
qui n'ôtent rien, malgré cela, de la valeur du livre :

...

Nous prédisons à M. Berger un beau succès, car tout amateur, désireux de s'instruire, ne manquera
pas de faire l'acquisition de son livre que nous ne saurions trop recommander.

Page55 - Les anciens timbres suisses.

Page 56 - UNE VARIETE D'OLDENBOURG, par Ch. Roussin.

Chronique.

Page 59 - Encore une contrefaçon.

Page 60 - EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1867 DES TIMBRES-POSTE, par Georges BREVILLE.

Page 61 - OBSERVATIONS SUR QUELQUES TIMBRES HAWAIIENS.
(Suite. — Voir les n° 24 et 26)

Page 63 - DE L'ORGANISATION d'une collection de timbres-poste, par O. BERGER.

...

Il y a lieu de recommander aux jeunes collectionneurs, surtout pour les timbres rares, de ne
pas en détacber, à leur début, les parcelles d'enveloppe ou de lettre sur lesquelles ils sont collés.

Chronique.

Page 66 - Shanghaï et ses timbres.

Page 66 - Timbres de Moldavie et de Roumanie.

Page 67 - TIMBRES DE MOLDAVIE ÉMISSION DE 1854.

Page 69 - EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1867 DES TIMBRES-POSTE, par Georges Bréville.
(Suite et fin. - N° précèdent).

M. Bordes, rue d'Amsterdam, 33, à Paris, expose des spécimens de timbres-poste sur papier
continu ; leur dessin est à peu près celui des timbres français (tête laurée). Dans le médaillon, autour
de l'effigie, est la légende : Napoléon III. empereur, en haut : Empire français; en bas : Postes; de
chaque côté de ce mot, une place est réservée pour la valeur. Il y en a trois feuilles : bleue, rose, noire
d'une longueur de 1.50 m. environ. La gravure en est faite sur un cylindre en cuivre, placé à part
dans une vitrine.

L'exposition de M. Chezaud nous montre dans un tableau voisin, des timbres français de 5 et
20 centimes imprimés au cylindre : 2 feuilles de 120 des premiers, deux de 108 des seconds.

Dans la classe des produits chimiques, M. Emile Granier, 46, rue Saint-Lazare, à Paris, y a placé
des timbres français de 1 centime, imprimés sur baudruche, en bleu, rose, vert, brun et chocolat.
Les premiers seuls sont dentelés. Le tirage a dû se faire, pensons-nous, à la monnaie de Paris, le des-
sin de ces timbres étant identique à ceux actuellement en usage. Il y a aussi un 3 cents des États-
Unis, sur baudruche, du même exposant.

Nous passons devant la vitrine de M. Duloz, et arrivons à celle de M. Stern, où nous signalerons
la présence de quelques essais de timbres-enveloppes français tirés en toutes couleurs sur papier à
lettres in-8°; la vitrine suivante contient en outre 9 timbres de dimension de 50 centimes, et 9 de
8 piastres pour la république d'Haïti.

...
Le Magasin pittoresque a placé dans la même salle un grand tableau contenant 319 timbres divers,
imprimés en noir, qui ont été gravés jadis pour les articles de M. N. Rondot.

...

Dans l'autre vitrine, sont les timbres de dimension français, dont il y a une feuille des valeurs suivantes,
aux armoiries de l'empire :
20 cent, lilas.
50 cent, bistre.
1 franc vert.
1-50 franc brique.
2 franc bleu.
3 franc carmin.
Au-dessous sont les timbres-télégraphes français de 25 et 50 centimes, 1 et 2 francs, dont voici la
description :

Dans un ovale portant les mots : Empire français, une aigle tient la foudre dans ses serres; aux angles
supérieurs sont des abeilles; en bas, on lit : Télégraphes ; la valeur se trouve en chiffres, dans les
angles. Nous ne savons sur quels timbres M. Magnus a lu : timbre-télégramme. Nous les avons en
vain cherchés.

Un essai de la République de Saint-Marin, gravé par M. Riester, est exposé dans la vitrine de
M. Gasté, touchant celle de M. Poitevin.
Voici maintenant le contingent de ce que nous donne M. Hulot, classe 6 :

Une feuille de 150 timbres du 25 cents (république), tirée en bleu et en noir ; quatre de 50 timbres
du 25 centimes (empire), imprimées en jaune, bistre, vert et carmin foncé; quatre autres de 150
timbres, même valeur, en brun, bleu clair, violet et bleu foncé.

Nous avons ensuite une feuille de timbres d'effets de commerce, sans valeur, que l'on a tachée, pour
montrer l'effet produit par l'eau ; une autre ayant la valeur en rouge « 100 fr. et au-dessous « 5 cent. »
A côté sont les 6 timbres des colonies françaises par feuilles de 180, dans les couleurs adoptées; des
feuilles de 150 timbres du 4 centimes en brun et vert olive; 10 timbres, même valeur, couleur
respective; deux feuilles du 30 centimes en bleu foncé et marron ; une du 4 centimes en vert, et
quatre du 30 centimes brun clair, carmin, orange et violet.

En-dessous sont les planches en cuivre de quelques timbres français et du 10 centimes des colonies;
quant à celles des billets de banque, nous serions bien aise de savoir où M. Magnus les a découvertes,
car nous n'en avons vu que les billets.

Il nous reste à visiter encore le premier étage du pavillon du jardin central où nous trouvons les
timbres actuels des Pays-Bas et les six timbres attendus; le 10 cents piqué des Indes néerlandaises
en rouge et en bleu ; la série actuelle des timbres-poste et télégraphes de Belgique; ceux de
Prusse avec les enveloppes et timbres de commerce du même pays; les timbres de Bavière, aux
armoiries; ceux de Wurtemberg, avec les quatre enveloppes et celles pour mandat; les timbres et
l'enveloppe 10 cent, de Suisse, aujourd'hui en usage ; puis les timbres de passe-ports, les marca di
riscontro, de 50 centimes à 5,000 francs, et tous les timbres actuels d'Italie, et pour finir enfin, une
feuille des timbres-poste, chiffres-taxe et timbres de commerce de Turquie

Georges Bréville.

Page 71 - REVUE DU CATALOGUE BERGER.

Le catalogue de timbres-poste publié récemment par la librairie de MM. Ve Berger-Levrault et fils,
de Strasbourg, est sans contredit une œuvre de grand mérite et fera époque dans les annales de la
Philatélie. L'auteur, M. O. Berger, dans sa préface, nous informe que le docteur Magnus, dont le nom
seul fait autorité et à qui nous sommes redevables de tant d'articles intéressants et M. F. A. Ph. de
Londres, l'heureux possesseur de la collection monstre, ont été consultés et ont revu les épreuves.

Nous venons d'examiner à notre tour ce livre, nous y trouvons bien des erreurs et des omissions
à signaler. Si nous nous décidons à livrer au public le résultat de nos réflexions, ce n'est pas avec
l'intention de faire une critique sévère d'un travail aussi remarquable, mais simplement de faire
connaître nos vues et attirer l'attention des collectionneurs sérieux sur quelques points douteux ;
provoquer la discussion et obtenir pour les élucider la coopération de toutes les personnes qui prennent
quelque intérêt à la Philatélie.

Nous nous permettrons quelques observations préliminaires, avant de commencer notre revue.

M. Berger fait une grande innovation dans le classement des papiers. Cette étude a dû lui occasionner
un grand travail, mais son utilité, nous paraît fort contestable. On a considéré, jusqu'à présent, comme papier
vergé, celui qui, tenu à la lumière, présente des lignes plus ou moins rapprochées, simulant un filigrane;
comme papier uni, celui qui ne laisse rien apercevoir. En Angleterre, on entend généralement
(c'est-à-dire le public ou le consommateur) par papier vergé (laid paper) le papier ayant les lignes ;
par papier uni (ivove paper) celui qui n'en a pas.
Dans le commerce, on donne le nom de vergé à bien des papiers qui ne présentent nulle trace de vergeure;
distinction que ne pourrait faire la plupart des collectionneurs.

J.P.

Cathalogue méthodique et descriptif de tous les Timbres-poste connus.

1ere PARTIE : TIMBRES-POSTE PROPREMENT DITS,

Par O. Berger.

1 joli volume in-12. — Prix : fr. 5-25. Étranger, fr. 5-65.

Chronique.

Page 76 - REVUE DU CATALOGUE BERGER, par J.P.
(Suite. — Voir le numéro précédent.)

Page 77 - Timbres de Moldavie et de Roumanie, par le Dr Magnus.
( Suite — Voir le numéro précédent.)

Chronique.

Page 84 - Les nouveaux timbres turcs.

Page 84 - Timbres de Moldavie et de Roumanie, par le Dr MAGNUS.
(Suite. — Voir le numéro précédent.)

Page 85 - Les faussaires d'autrefois et les faussaires d'aujourd'hui, par De Rives de Seine.

Page 86 - REVUE DU CATALOGUE BERGER, par J.P.
(Suite. — Voir le numéro précédent.)

...

Bâle. Réimpression du 2 1/2 rappen, et tirage 
de fantaisie en vert (1). 

(1) M. Laplante, qui ne vend que des réimpressions officielles, offre ce timbre de fantaisie comme ayant eu 
cours. (Note de ta rédaction.) 

Chronique.

FRANCE.

Il y a, du nouveau type, Napoléon tête laurée, une troisième valeur en usage depuis le 15 novembre dernier :
10 centimes bistre.
M. Mahé signale le chiffre-taxe, 15 centimes, percé en ligne et usité par un receveur des postes.

Le Siècle annonce que le timbre de 5 francs paraîtra dans les premiers mois de 1868.

La Patrie, elle, annonce à son tour qu'à partir du 1er janvier prochain, l'administration des lignes
télégraphiques mettra à la disposition du public des timbres-dépêches destinés à l'affranchissement de la
taxe relative à la transmission de toute dépêche intérieure ou internationale. Ces timbres seront de
quatre valeurs :

25 centimes, rouge-carmin.
50 centimes, vert.
1 francs, chamois.
2 francs, violet.

Page 92 - Timbres de Moldavie et de Roumanie, par le Dr MAGNUS.
(suite - voir le numero précédent).

Page 95 - Deux grandes raretés, par J.P.

Page 95 - Timbres, avec erreurs d'Impressions, du cap de Bonne-Espérance, par L.F.

Page 95 - REVUE DU CATALOGUE BERGER, par J.P.
(Suite. — Voir le numéro précédent.)

Prix-courant.